Nous reproduisons ici le discours de Monsieur Jacques Paquin, lors du dévoilement d'une plaque commémorative, en hommage à Nicolas Paquin II, un des pionniers de Deschambault. Ce dévoilement eut lieu lors de l'inauguration du Parc « Les Jardins du Cap Lauzon »
À l’entrée de la Municipalité de Deschambault-Grondines, du côté est, sur le Chemin du Roy, en face de la Ferme expérimentale, on peut voir une plaque commémorative érigée par Ia Commission des Monuments historiques du Québec.
Cette plaque rappelle à tous les passants que le Fief seigneurial de Chavigny fut concédé à François de Chavigny le 4 décembre 1640. Et l’on ajoute que la propriété de ce fief fut transférée par la veuve De Chavigny, Éléonore de Grandmaison, à son gendre Jacques-Alexis Fleury D’Eschambault en 1683.
Près de cette plaque, sur la terre, auparavant propriété de la Famille Paquin, se trouve un monument commémoratif, en hommage à la foi et à la vaillance des ancêtres Paquin.
À l’entrée de la Municipalité de Deschambault-Grondines, du côté est, sur le Chemin du Roy, en face de la Ferme expérimentale, on peut voir une plaque commémorative érigée par Ia Commission des Monuments historiques du Québec.
Cette plaque rappelle à tous les passants que le Fief seigneurial de Chavigny fut concédé à François de Chavigny le 4 décembre 1640. Et l’on ajoute que la propriété de ce fief fut transférée par la veuve De Chavigny, Éléonore de Grandmaison, a son gendre Jacques-Alexis Fleury D’Eschambault en 1683.
Près de cette plaque, sur la terre, auparavant propriété de la Famille Paquin, se trouve un monument commémoratif, en hommage à la foi et à la vaillance des ancêtres Paquin.
Le voisinage immédiat de ces deux monuments n’est pas le fruit du hasard. En effet, la Famille Paquin et la famille d’Éléonore de Grandmaison, avant de vivre côte à côte ici à Deschambault, vécurent d’abord dans le même voisinage sur l’île d’Orléans. La Famille Paquin cultivait une des premières fermes de Sainte-Famille, alors que la Famille d’Éléonore de Grandmaison vivait, non loin de là, sur le Fief de Beaulieu.
C’est ainsi que Nicolas Paquin, Fils, invité par la Famille d’Éléonore de Grandmaison, vint s’établir à Deschambault vers 1698.
C’est donc une coïncidence heureuse qu’aujourd’hui ces deux Familles, de nouveau, se retrouvent dans le même voisinage. Deux plaques, voisines l’une de l’autre : l’une pour rappeler la mémoire de François de Chavigny et de son épouse Éléonore de Grandmaison, et l’autre en hommage à l’un des premiers pionniers sur cette terre de Deschambault, Nicolas Paquin II.
Le geste que nous posons aujourd’hui veut témoigner de notre fierté et de notre respect à l’égard de nos ancêtres. Nous voulons rester en relation avec notre passé, non pas dans un esprit de nostalgie ou de rêve, mais plutôt afin d’y trouver une meilleure connaissance de ce que nous sommes nous Québécois, et afin d’y trouver aussi un dynamisme nouveau et de nouvelles pistes d’envol vers l’avenir.
« Interroge les générations passées, sois attentif à l’expérience des pères » (Job 8 : 8), nous disent les Saintes Écritures ! Il est de la plus grande importance que nous Québécois, nous restions attentifs à l’interprétation de notre passé. « Notre avenir est enraciné dans notre histoire » ! Sans relation avec notre passé nous risquons de tourner en rond, de nous retrouver sans cesse face à nous même, sans héros, sans légendes, sans fierté, sans projet national.
Proclamons-le : « Notre avenir est enraciné dans notre histoire » !
À l’entrée de la Municipalité de Deschambault-Grondines, du côté est, sur le Chemin du Roy, en face de la Ferme expérimentale, on peut voir une plaque commémorative érigée par Ia Commission des Monuments historiques du Québec.
Cette plaque rappelle à tous les passants que le Fief seigneurial de Chavigny fut concédé à François de Chavigny le 4 décembre 1640. Et l’on ajoute que la propriété de ce fief fut transférée par la veuve De Chavigny, Éléonore de Grandmaison, a son gendre Jacques-Alexis Fleury D’Eschambault en 1683.
Près de cette plaque, sur la terre, auparavant propriété de la Famille Paquin, se trouve un monument commémoratif, en hommage à la foi et à la vaillance des ancêtres Paquin.
Le voisinage immédiat de ces deux monuments n’est pas le fruit du hasard. En effet, la Famille Paquin et la famille d’Éléonore de Grandmaison, avant de vivre côte à côte ici à Deschambault, vécurent d’abord dans le même voisinage sur l’île d’Orléans. La Famille Paquin cultivait une des premières fermes de Sainte-Famille, alors que la Famille d’Éléonore de Grandmaison vivait, non loin de là, sur le Fief de Beaulieu.
C’est ainsi que Nicolas Paquin, Fils, invité par la Famille d’Éléonore de Grandmaison, vint s’établir à Deschambault vers 1698.
C’est donc une coïncidence heureuse qu’aujourd’hui ces deux Familles, de nouveau, se retrouvent dans le même voisinage. Deux plaques, voisines l’une de l’autre : l’une pour rappeler la mémoire de François de Chavigny et de son épouse Éléonore de Grandmaison, et l’autre en hommage à l’un des premiers pionniers sur cette terre de Deschambault, Nicolas Paquin II.
Le geste que nous posons aujourd’hui veut témoigner de notre fierté et de notre respect à l’égard de nos ancêtres. Nous voulons rester en relation avec notre passé, non pas dans un esprit de nostalgie ou de rêve, mais plutôt afin d’y trouver une meilleure connaissance de ce que nous sommes nous Québécois, et afin d’y trouver aussi un dynamisme nouveau et de nouvelles pistes d’envol vers l’avenir.
« Interroge les générations passées, sois attentif à l’expérience des pères » (Job 8 : 8), nous disent les Saintes Écritures ! Il est de la plus grande importance que nous Québécois, nous restions attentifs à l’interprétation de notre passé. « Notre avenir est enraciné dans notre histoire » ! Sans relation avec notre passé nous risquons de tourner en rond, de nous retrouver sans cesse face à nous même, sans héros, sans légendes, sans fierté, sans projet national.
Proclamons-le : « Notre avenir est enraciné dans notre histoire » !
En terminant, nous voulons dire un cordial merci à tous les bénévoles de Deschambault, membres du Comité d’embellissement et autres, qui ont conçu et réalisé ces << Jardins du Cap Lauzon >>, un haut lieu d’histoire et de beauté !
Une plaque commémorative, marquant cet endroit historique, vient d’être plantée dans la Paroisse de la Sainte-Famille sur l’Île d’Orléans au Québec.
Tous les Paquin étaient invités au dévoilement de cette plaque qui a eu lieu à l'adresse suivante :
2111, Chemin Royal
Sainte-Famille, Île d'Orléans, QC
Grâce aux recherches initiées par le Frère
Pasteur Paquin, et poursuivies par des membres des Familles Paquin,
nous pouvons aujourd’hui identifier l’endroit exact où s’est établie la
première famille Paquin au Canada.
Une plaque commémorative, marquant cet endroit historique, vient d'être installée dans la Paroisse de la Sainte-Famille sur l'Ile d'Orléans au Québec.
Tous les Paquin étaient invités au dévoilement de cette plaque qui a eu lieu samedi, le 29 septembre 2018, à l'adresse suivante :
2111, Chemin Royal
Sainte-Famille, Ile d'Orléans, QC