Québec |
Charlesbourg – Avenue Jean Paquin
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Jean Paquin (1907-1996) (Julien-Blanche Rodier), vicaire durant 31 ans et un des co-fondateurs, en 1966, de la paroisse Sainte-Cécile de Charlesbourg. Au début, les offices religieux étaient célébrés dans une chapelle de l'école Le Plateau. Le Père Paquin incite les pères de la Communauté Saint-Vincent-de-Paul à se départir de leurs terrains pour permettre et activer la construction d'une église et d'un presbytère dès 1967. En plus de ses obligations de desservant, le père Paquin s'occupe des personnes démunies et des personnes âgées. Sportif accompli, il organise des activités pour les jeunes du patro de Charlesbourg et du patro de Roc-Amadour à Limoilou. Son engagement enthousiaste lui vaut le respect de toute la communauté. En 1998, les paroisses de Sainte-Cécile et de Sainte-Maria-Goretti sont intégrées à celle de Saint-Charles-Borromée, la paroisse mère. La rue nommée en l'honneur du père Paquin borde l'église de Sainte-Cécile. |
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Deschambault - Monument Paquin
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Il y a un
monument Paquin de forme pyramidale à l'entrée est du village de
Deschambault, au 116 chemin du Roy, en avant de l'ancienne
ferme de Paul Paquin. |
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Deux Montagnes - Rue Elzéar Paquin
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Cet odonyme
évoque Elzéar Paquin (1890-1963) (Jos Albert-Emma Savard), un des
premiers cultivateurs dans la municipalité. Il a travaillé à la
construction de l'hôtel de ville en 1931. |
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Gatineau - Rue Paquin
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La rue
Paquin a été nommé ainsi pour honorer un ancien conseiller municipal de
Pointe-Gatineau, Olida Paquin (Albert-Espérance Duval) qui a siégé au
conseil municipal de Pointe-Gatineau (1943-1945). Cette municipalité a
été fusionnée à d'autres villes et porte maintenant le nom de Gatineau.
Il était marié à Jeanne Vaive. |
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Hérouxville – Route Paquin
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Cette route
porte le nom de Régis Paquin (1836-1923) (Élie-Ursule Plante) qui fut un
fermier accompli dans le secteur. Cette route traversait ses terres et à
la demande de l'Abbé Euchariste Héroux, il a cédé le terrain pour
accommoder ses concitoyens. |
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Joliette - Rue Arsène Paquin
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Ce nom de
rue, Arsène Paquin, honore la mémoire d'Arsène Paquin (Hubert-Célina
Gignac). En 1912, il fut nommé inspecteur d'école du district de
Joliette, puis inspecteur regional en 1929. Il fut aussi l'instigateur
du Certificat d'études . Il fut 44 ans au service de l'éducation et il
prit sa retraite le premier février 1949. |
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La Tuque - Rue Paquin et Carré Paquin
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"Pour
rappeler la mémoire d'Arthur Paquin (1857-1913) (Thomas-Marie Philomène
Bourassa) pionnier de La Tuque et père de notre concitoyen, Amédée J.
Paquin". Arthur a bâtit le premier hôtel de La Tuque au quartier
Bel-Air; l'hôtel Paquin n'existe plus depuis longtemps. |
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Lac aux Sables, municipalité St-Rémi - Lac Paquin
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Cet odonyme évoque Joseph Paquin (1870-1951) (François-Olympe Bertrand), un des premiers cultivateurs dans la municipalité. |
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Montréal - Rue Anna Paquin
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Toute jeune,
Anna Paquin (1878-1923) (Charles Napoléon-Olive Duteau dit Vilandre)
s'initie à la musique dans sa famille, puis poursuit ses études au
pensionnat des Sœurs de Sainte-Anne à Lachine. Organiste à Saint
Cuthbert et Sainte-Ursule, elle enseigne à compter de 1898 dans cette
dernière localité de même qu'à Saint-David de Yamaska, aujourd'hui
Saint-David. Elle forme plusieurs chorales paroissiales pour lesquelles
elle compose quelques pièces. |
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Montréal - Rue Wilbrod Paquin
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Originaire
de Saint-Alexis–des-Monts, le pharmacien Wilbrod Paquin (1873-1942)
(Alphonse-Desanges Bergeron) fit figure de pionnier dans le commerce
pharmaceutique au détail à Montréal. |
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Montréal-Nord - Avenue Ubald Paquin
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Cet odonyme
évoque le souvenir d'Ubald Paquin (1894-1962) (Herménégilde-Georgianna
Laniel), romancier et journaliste canadien. Le Montréalais collabora aux
publications suivantes telles que : «Le Devoir », « La Patrie », «
Canada » et « Naturaliste ». Pour manifester ses engagements politiques,
il fonda, en 1916, le journal « La Bataille ». Sa librairie, Aux
Bouquins, devint un lieu de rencontre d'intellectuels. Membre de l'école
littéraire de Montréal en 1920, il publia plusieurs romans tout en
occupant un poste à la fonction publique provinciale. |
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Rivière Mouchalagane, municipalité de Caniapiscau - Canton Paquin
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Le
canton Paquin est situé près de la frontière du Labrador terre-neuvien,
dans le voisinage du lac Opocopa qui se déverse dans le cours supérieur
de la Rivière Moisie. Ce canton est totalement inhabité. Le toponyme
évoque Jacques Paquin (1791-1847) (Paul-Marie Marguerite Marcotte)
originaire de Deschambault, Qc. Missionnaire à Odanak pendant ses études
théologiques, le jeune Paquin y apprend la langue abénaquise et
deviendra cure de Saint-François-du-Lac dès 1815. Nommé curé de
Saint-Eustache en 1821, il y demeurera jusqu'à la fin de ses jours.
Vivement opposé au mouvement nationaliste et au libéralisme de l'époque,
il se retire sur sa ferme pendant l'insurrection de 1837. L'année
suivante, dans le but évident d'obtenir l'aide du gouvernement pour
reconstruire son église, il publie un journal historique des évènements
arrivés à Saint-Eustache, pendant la rébellion du comté du lac des
Deux-Montagnes. Ce fut lui qui érigea le magnifique couvent des Soeurs
de la Congrégation à Saint-Eustache qui fut incendié sous ses yeux
pendant les troubles de 1837-38. Après cette date, le curé Paquin, si
l'on en croit l'avertissement sévère de monseigneur Bourget, aurait
négligé quelque peu son ministère et la prédication pour se livrer à
l'étude et à l'exploitation de quelques terres qu'il possèdait et qui
lui procuraient un confortable revenu. L'histoire de l'église du Canada,
à laquelle il travaillait depuis plusieurs années, ne fut jamais
publiée.
(Voir aussi Rue Paquin - Saint Eustache) |
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Saint-David d'Yamaska - Pont Docteur J.W. Paquin
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Le pont
Docteur Joseph Wilfrid Paquin traverse la rivière David et est situé sur
le parcours du rang Sainte-Cécile au sud du village et donc au cœur de
la municipalité de la paroisse de Saint-David. Le docteur Joseph Wilfrid
Paquin (Alfred-Célina Baril) est né à Saint-Didace. Il vint s'établir à
Saint-David dans la maison familiale de Mgr Brunault en 1906. Il fut
président de la Commission Scolaire durant plusieurs termes et médecin à
Saint-David jusqu'à son décès le 11 octobre 1958. |
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Saint-Eustache - Rue Paquin
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Ce nom
évoque le souvenir de Jacques Paquin (1791-1847) (Paul-Marie Marguerite
Marcotte). Il fut vicaire à Varennes et curé chez les Abénaquis d'Odanak
en 1821 avant d'être nommé à Saint Eustache en 1837. Il a été président
de la commission scolaire de 1829 à 1847. |
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Saint-Jérôme - Pont Paquin
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A été nommé
afin d'honorer l'une des première familles d'origine de la fondation de
la ville de Lafontaine (fusionné avec St Jérôme en 2002). Il s'agit de
Isidore Paquin (1830-1911) (Isidore-Angélique Dautour) |
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Sainte-Sophie de Lévrard - Route Paquin
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La route
Paquin reliant le sixième et le septième rang à Sainte-Sophie de Lévrard
comté de Nicolet ainsi nommé en mémoire de Arsène Paquin |
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Trois-Rivières - Carré du Maire Paquin
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Ce nom
évoque le souvenir de Donat Paquin (Désiré-Hélène Houle) qui fut maire
de Cap de la Madeleine, de 1921 à 1931. Élu échevin au Cap de la
Madeleine, le 5 juillet 1921, il fut porté maire le 3 décembre suivant.
Il fut Chevalier de Colomb, membre des Elks à Trois-Rivières et
président du Club Guénisse. |
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Trois-Rivières – Rue l'Abbé Paquin
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Celle-ci fut
nommée d'après le Père Carmel Paquin (né en 1930) (Rosario-Hélène
Diamond). Il fit ses études théologiques à Trois-Rivières et fut ordonné
prêtre à Shawinigan, Qc. Il avait un intérêt marqué pour les enfants et
leur divertissement. La rue porte le nom de l'Abbé Paquin car il fut le
premier aumônier/directeur des terrains de jeu de Trois-Rivières et La
Tuque, Qc. |
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Trois-Rivières - Rue Maurice Paquin
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Ce nom
évoque le souvenir de Maurice Paquin (1921-1994) (Edmond-Mérilda
Rivard), qui fut maire de Saint Louis de France de 1971 à 1977. Maurice
Paquin a contribué grandement au développement domiciliaire dans sa
localité par la construction de domiciles qu'il établit à l'aide de son
épouse sur un lopin de terre qu'il avait obtenu de son père. Il était la
tête de l'administration municipale et scolaire. |
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Trois-Rivières – Rue Paquin
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Ce nom de
rue porte le nom de Louis Dosithée Paquin (1844-1918) (Maxime-Marie
Gingras). Il était avocat de profession et il est devenu maire de
Trois-Rivières en 1900-1902 et de nouveau en 1905. |
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Val David - Auberge du Lac Paquin
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James Parker
est celui qui a construit et appartenu l'auberge Parker's Lodge en
1944. Cette charmante auberge campagnarde, sise sur les rives du Lac
Paquin, a 4 étages et un petit chalet avec foyer. L'auberge a appartenu à
plusieurs personnes dont les propriétaires actuels France et Ludovic
Bolla. Ces derniers lui donnèrent le nouveau nom « Auberge Paquin » en
1993 afin de perpétuer les riches traditions et de refléter
l'environnement dans lequel se trouve l'auberge |
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Val David - Chemin Paquin
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Selon Yvon
Paquin (D'Assise-Lise Vaillancourt) le nom de ce chemin a été donné vers
1959, suit à la requête de son grand-père, Alphonse Paquin (Isaïe-Marie
Flore Chartrand). Cela se passe durant le mandant à la mairie (1957-59)
de D'Assise Paquin (Alphonse-Délia Bérichon). L'intention était
semble-t-il de perpétuer la mémoire des familles Paquin dans
l'arrondissement du même nom. |
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Val David - Lac Paquin
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Le Lac
Paquin en 1899 était connu sous le nom de Lac Grand-Maison nommé d'après
Anselme Barbary dit Grand-Maison. Le nom de Paquin donné au lac est
connu depuis le début du 20e siècle puisqu'un bureau de poste estival
était en opération sous le nom Lac Paquin de 1913 à 1954. Le nom
n'apparaît pas sur les cartes du comté de Terrebonne publiées en 1924 et
1931. Lors de sa séance du 29 avril 1931, la Commission de géographie
décide de remplacer le nom « Lac Paquin » par « Lac Berthiaume » : ce
changement survient à la demande de Pamphile du Tremblay, qui a été
député puis nommé sénateur de la division de Repentigny le 19 novembre
1942 : beau-frère de Charles Arthur Berthiaume, propriétaire de La
Presse de Montréal, qui avait acheté un terrain en 1919 au bord du lac.
C'est pourtant le nom « Lac Paquin » qui continuera d'apparaître
notamment sur la carte topographique 31J/SE de 1936 et sur celle du
comté de Terrebonne de 1939. Le nom « Lac Berthiaume » apparaît
cependant sur la carte 31J/01 de 1957. La Commission de géographie
reviendra au nom « Lac Paquin » le 1970-03-06. L'origine provient du nom
Alphonse Paquin (Isaïe-Marie Flore Chartrand) qui était propriétaire
des terres sur lesquelles se trouve le lac.
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Val-d'Or - Avenue Paquin
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Ces noms
rappellent deux familles Paquin, notamment Achille Paquin (1909-2002)
(Fleurimont - Virginie Demers), bien connu dans le marché immobilier
local à Val-d'Or et aussi Philippe Paquin qui a dirigé plusieurs projets
de construction à Val-d'Or dont la construction de l'actuel Hôtel de
ville à Val-d'Or. Ce sont les raisons pour lesquelles le nom « Avenue
Paquin » et le nom du secteur « Paquin-Ville » prennent leur origine. |