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Manitoba Saint-Boniface - Paquin Street Cette rue est située dans un petit secteur industriel sur la ferme laitière de Adélard Paquin (1856-1925) (Paul-Marcelline Phaneuf)
Québec Charlesbourg – Avenue Jean Paquin Jean Paquin (1907-1996) (Julien-Blanche Rodier), vicaire durant 31 ans et un des co-fondateurs, en 1966, de la paroisse Sainte-Cécile de Charlesbourg. Au début, les offices religieux étaient célébrés dans une chapelle de l'école Le Plateau. Le Père Paquin incite les pères de la Communauté Saint-Vincent-de-Paul à se départir de leurs terrains pour permettre et activer la construction d'une église et d'un presbytère dès 1967. En plus de ses obligations de desservant, le père Paquin s'occupe des personnes démunies et des personnes âgées. Sportif accompli, il organise des activités pour les jeunes du patro de Charlesbourg et du patro de Roc-Amadour à Limoilou. Son engagement enthousiaste lui vaut le respect de toute la communauté. En 1998, les paroisses de Sainte-Cécile et de Sainte-Maria-Goretti sont intégrées à celle de Saint-Charles-Borromée, la paroisse mère. La rue nommée en l'honneur du père Paquin borde l'église de Sainte-Cécile.
Deschambault - Monument Paquin Il y a un monument Paquin de forme pyramidale à l'entrée est du village de Deschambault, au 116 chemin du Roy, en avant de l'ancienne ferme de Paul Paquin.
Deux Montagnes - Rue Elzéar Paquin Cet odonyme évoque Elzéar Paquin (1890-1963) (Jos Albert-Emma Savard), un des premiers cultivateurs dans la municipalité. Il a travaillé à la construction de l'hôtel de ville en 1931.
Gatineau - Rue Paquin La rue Paquin a été nommé ainsi pour honorer un ancien conseiller municipal de Pointe-Gatineau, Olida Paquin (Albert-Espérance Duval) qui a siégé au conseil municipal de Pointe-Gatineau (1943-1945). Cette municipalité a été fusionnée à d'autres villes et porte maintenant le nom de Gatineau. Il était marié à Jeanne Vaive.
Hérouxville – Route Paquin Cette route porte le nom de Régis Paquin (1836-1923) (Élie-Ursule Plante) qui fut un fermier accompli dans le secteur. Cette route traversait ses terres et à la demande de l'Abbé Euchariste Héroux, il a cédé le terrain pour accommoder ses concitoyens.
Joliette - Rue Arsène Paquin Ce nom de rue, Arsène Paquin, honore la mémoire d'Arsène Paquin (Hubert-Célina Gignac). En 1912, il fut nommé inspecteur d'école du district de Joliette, puis inspecteur regional en 1929. Il fut aussi l'instigateur du Certificat d'études . Il fut 44 ans au service de l'éducation et il prit sa retraite le premier février 1949.
La Tuque - Rue Paquin et Carré Paquin "Pour rappeler la mémoire d'Arthur Paquin (1857-1913) (Thomas-Marie Philomène Bourassa) pionnier de La Tuque et père de notre concitoyen, Amédée J. Paquin". Arthur a bâtit le premier hôtel de La Tuque au quartier Bel-Air; l'hôtel Paquin n'existe plus depuis longtemps.
Lac aux Sables, municipalité St-Rémi - Lac Paquin Cet odonyme évoque Joseph Paquin (1870-1951) (François-Olympe Bertrand), un des premiers cultivateurs dans la municipalité.
Montréal - Rue Anna Paquin Toute jeune, Anna Paquin (1878-1923) (Charles Napoléon-Olive Duteau dit Vilandre) s'initie à la musique dans sa famille, puis poursuit ses études au pensionnat des Sœurs de Sainte-Anne à Lachine. Organiste à Saint Cuthbert et Sainte-Ursule, elle enseigne à compter de 1898 dans cette dernière localité de même qu'à Saint-David de Yamaska, aujourd'hui Saint-David. Elle forme plusieurs chorales paroissiales pour lesquelles elle compose quelques pièces.
Montréal - Rue Wilbrod Paquin Originaire de Saint-Alexis–des-Monts, le pharmacien Wilbrod Paquin (1873-1942) (Alphonse-Desanges Bergeron) fit figure de pionnier dans le commerce pharmaceutique au détail à Montréal.
Montréal-Nord - Avenue Ubald Paquin Cet odonyme évoque le souvenir d'Ubald Paquin (1894-1962) (Herménégilde-Georgianna Laniel), romancier et journaliste canadien. Le Montréalais collabora aux publications suivantes telles que : «Le Devoir », « La Patrie », « Canada » et « Naturaliste ». Pour manifester ses engagements politiques, il fonda, en 1916, le journal « La Bataille ». Sa librairie, Aux Bouquins, devint un lieu de rencontre d'intellectuels. Membre de l'école littéraire de Montréal en 1920, il publia plusieurs romans tout en occupant un poste à la fonction publique provinciale.
Rivière Mouchalagane, municipalité de Caniapiscau - Canton Paquin Le canton Paquin est situé près de la frontière du Labrador terre-neuvien, dans le voisinage du lac Opocopa qui se déverse dans le cours supérieur de la Rivière Moisie. Ce canton est totalement inhabité. Le toponyme évoque Jacques Paquin (1791-1847) (Paul-Marie Marguerite Marcotte) originaire de Deschambault, Qc. Missionnaire à Odanak pendant ses études théologiques, le jeune Paquin y apprend la langue abénaquise et deviendra cure de Saint-François-du-Lac dès 1815. Nommé curé de Saint-Eustache en 1821, il y demeurera jusqu'à la fin de ses jours. Vivement opposé au mouvement nationaliste et au libéralisme de l'époque, il se retire sur sa ferme pendant l'insurrection de 1837. L'année suivante, dans le but évident d'obtenir l'aide du gouvernement pour reconstruire son église, il publie un journal historique des évènements arrivés à Saint-Eustache, pendant la rébellion du comté du lac des Deux-Montagnes. Ce fut lui qui érigea le magnifique couvent des Soeurs de la Congrégation à Saint-Eustache qui fut incendié sous ses yeux pendant les troubles de 1837-38. Après cette date, le curé Paquin, si l'on en croit l'avertissement sévère de monseigneur Bourget, aurait négligé quelque peu son ministère et la prédication pour se livrer à l'étude et à l'exploitation de quelques terres qu'il possèdait et qui lui procuraient un confortable revenu. L'histoire de l'église du Canada, à laquelle il travaillait depuis plusieurs années, ne fut jamais publiée. (Voir aussi Rue Paquin - Saint Eustache)
Saint-David d'Yamaska - Pont Docteur J.W. Paquin Le pont Docteur Joseph Wilfrid Paquin traverse la rivière David et est situé sur le parcours du rang Sainte-Cécile au sud du village et donc au cœur de la municipalité de la paroisse de Saint-David. Le docteur Joseph Wilfrid Paquin (Alfred-Célina Baril) est né à Saint-Didace. Il vint s'établir à Saint-David dans la maison familiale de Mgr Brunault en 1906. Il fut président de la Commission Scolaire durant plusieurs termes et médecin à Saint-David jusqu'à son décès le 11 octobre 1958.
Saint-Eustache - Rue Paquin Ce nom évoque le souvenir de Jacques Paquin (1791-1847) (Paul-Marie Marguerite Marcotte). Il fut vicaire à Varennes et curé chez les Abénaquis d'Odanak en 1821 avant d'être nommé à Saint Eustache en 1837. Il a été président de la commission scolaire de 1829 à 1847.
Saint-Jérôme - Pont Paquin A été nommé afin d'honorer l'une des première familles d'origine de la fondation de la ville de Lafontaine (fusionné avec St Jérôme en 2002). Il s'agit de Isidore Paquin (1830-1911) (Isidore-Angélique Dautour)
Sainte-Sophie de Lévrard - Route Paquin La route Paquin reliant le sixième et le septième rang à Sainte-Sophie de Lévrard comté de Nicolet ainsi nommé en mémoire de Arsène Paquin
Trois-Rivières - Carré du Maire Paquin Ce nom évoque le souvenir de Donat Paquin (Désiré-Hélène Houle) qui fut maire de Cap de la Madeleine, de 1921 à 1931. Élu échevin au Cap de la Madeleine, le 5 juillet 1921, il fut porté maire le 3 décembre suivant. Il fut Chevalier de Colomb, membre des Elks à Trois-Rivières et président du Club Guénisse.
Trois-Rivières – Rue l'Abbé Paquin Celle-ci fut nommée d'après le Père Carmel Paquin (né en 1930) (Rosario-Hélène Diamond). Il fit ses études théologiques à Trois-Rivières et fut ordonné prêtre à Shawinigan, Qc. Il avait un intérêt marqué pour les enfants et leur divertissement. La rue porte le nom de l'Abbé Paquin car il fut le premier aumônier/directeur des terrains de jeu de Trois-Rivières et La Tuque, Qc.
Trois-Rivières - Rue Maurice Paquin Ce nom évoque le souvenir de Maurice Paquin (1921-1994) (Edmond-Mérilda Rivard), qui fut maire de Saint Louis de France de 1971 à 1977. Maurice Paquin a contribué grandement au développement domiciliaire dans sa localité par la construction de domiciles qu'il établit à l'aide de son épouse sur un lopin de terre qu'il avait obtenu de son père. Il était la tête de l'administration municipale et scolaire.
Trois-Rivières – Rue Paquin Ce nom de rue porte le nom de Louis Dosithée Paquin (1844-1918) (Maxime-Marie Gingras). Il était avocat de profession et il est devenu maire de Trois-Rivières en 1900-1902 et de nouveau en 1905.
Val David - Auberge du Lac Paquin James Parker est celui qui a construit et appartenu l'auberge Parker's Lodge en 1944. Cette charmante auberge campagnarde, sise sur les rives du Lac Paquin, a 4 étages et un petit chalet avec foyer. L'auberge a appartenu à plusieurs personnes dont les propriétaires actuels France et Ludovic Bolla. Ces derniers lui donnèrent le nouveau nom « Auberge Paquin » en 1993 afin de perpétuer les riches traditions et de refléter l'environnement dans lequel se trouve l'auberge
Val David - Chemin Paquin Selon Yvon Paquin (D'Assise-Lise Vaillancourt) le nom de ce chemin a été donné vers 1959, suit à la requête de son grand-père, Alphonse Paquin (Isaïe-Marie Flore Chartrand). Cela se passe durant le mandant à la mairie (1957-59) de D'Assise Paquin (Alphonse-Délia Bérichon). L'intention était semble-t-il de perpétuer la mémoire des familles Paquin dans l'arrondissement du même nom.
Val David - Lac Paquin
Le Lac Paquin en 1899 était connu sous le nom de Lac Grand-Maison nommé d'après Anselme Barbary dit Grand-Maison. Le nom de Paquin donné au lac est connu depuis le début du 20e siècle puisqu'un bureau de poste estival était en opération sous le nom Lac Paquin de 1913 à 1954.
Le nom n'apparaît pas sur les cartes du comté de Terrebonne publiées en 1924 et 1931. Lors de sa séance du 29 avril 1931, la Commission de géographie décide de remplacer le nom « Lac Paquin » par « Lac Berthiaume » : ce changement survient à la demande de Pamphile du Tremblay, qui a été député puis nommé sénateur de la division de Repentigny le 19 novembre 1942 : beau-frère de Charles Arthur Berthiaume, propriétaire de La Presse de Montréal, qui avait acheté un terrain en 1919 au bord du lac. C'est pourtant le nom « Lac Paquin » qui continuera d'apparaître notamment sur la carte topographique 31J/SE de 1936 et sur celle du comté de Terrebonne de 1939. Le nom « Lac Berthiaume » apparaît cependant sur la carte 31J/01 de 1957. La Commission de géographie reviendra au nom « Lac Paquin » le 1970-03-06. L'origine provient du nom Alphonse Paquin (Isaïe-Marie Flore Chartrand) qui était propriétaire des terres sur lesquelles se trouve le lac.
Val-d'Or - Avenue Paquin Ces noms rappellent deux familles Paquin, notamment Achille Paquin (1909-2002) (Fleurimont - Virginie Demers), bien connu dans le marché immobilier local à Val-d'Or et aussi Philippe Paquin qui a dirigé plusieurs projets de construction à Val-d'Or dont la construction de l'actuel Hôtel de ville à Val-d'Or. Ce sont les raisons pour lesquelles le nom « Avenue Paquin » et le nom du secteur « Paquin-Ville » prennent leur origine.
Saskatchewan Parc National de Pr​ince Albert - Paquin Lake Il est dit que lorsque les explorateurs de l'ouest canadien arrivèrent à ce lac, ils lui donnèrent le nom de l'un des voyageurs qui faisaient la traite des fourrures.
Ville de Radville Radville, comme la plupart des villes de la Saskatchewan, a commencé lorsque le chemin de fer est arrivé en 1910, pour devenir officiellement une ville en 1911. Radville est nommé, en partie, pour Conrad Paquin, dont la ferme non développée la ville est construite. Son nom a été créé en utilisant les dernières lettres du prénom de M. Paquin et le dérivé français de 'ville' pour désigner le règlement.