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L'arrivée du ski parabolique a changé la vie de bien des skieurs. «Ce fut d'après moi le plus grand changement dans l'histoire du ski, soutient-il. De mon côté, s'il n'y avait pas eu les paraboliques, je ne pourrais plus faire de ski aujourd'hui, car ç'aurait été trop dangereux, à cause de mon âge. Je me suis toujours tenu à jour dans les techniques de ski et j'ai pris des cours pour mieux maîtriser les skis paraboliques. Ça va super bien et ça fait une dizaine d'années que je les utilise. D'abord ils sont plus courts, j'en ai qui ont 1 m 61 maintenant et je me rappelle que mes premiers skis étaient longs de 2 m 05. L'autre gros avantage est que le rayon de braquage est beaucoup plus court et c'est devenu un véritable charme de descendre. À mon âge, j'ai sacrifié la vitesse sur les pentes pour de belles descentes en slalom.»
Hivers coriaces
M. Paquin a connu des hivers aussi coriaces que celui qui nous tombe dessus, avec les technologies en moins. «À mes débuts, il n'y avait qu'une piste, celle que l'on surnomme la Gaby-Pleau aujourd'hui, et il n'y avait pas de machinerie pour travailler les pistes. La seule remontée, une corde, était arrêtée après les grosses bordées de neige et le seul moyen d'avoir accès au haut de la piste était de monter avec nos skis, posés de travers dans la côte. En même temps, on la damait. Il n'y avait pas d'autre choix et tout le monde mettait la main à la pâte.»